Histoires

Maîtresse ajuste alors une perruque brune sur ma tête et, me faisant asseoir à sa coiffeuse, me donne tout ce qu'il faut pour me maquiller et me parfumer. Je sais comment m'y prendre : j'ai toujours été fasciné par ce rituel féminin. Maîtresse dessine mes lèvres avec un fin pinceau à rouge à lèvres. Enfin prête ! Le miroir me révèle l'image de la belle Fabienne. " Je vois que tes ongles ne sont pas vernis, Antonina! Chez moi, le laisser-aller n'est pas toléré. Je vais te punir !

"Quel est le supplice que tu redoutes le plus, soumis ? Sans hésiter, il répond : "C'est, Maîtresse, celui où vous me caressez avec votre pied en m'interdisant formellement d'éjaculer, sous peine d'être châtié. Elle sourit discrètement et lui dit : "J'en étais sûre ! Voyons combien de temps tu résisteras, cette fois ! Elle le prend par la queue sans ménagement et le conduit ainsi jusqu'à son trône où elle s'assied. "Allonge-toi, jambes bien écartées !" Dans sa main droite, elle tient le petit fouet qu'il craint terriblement. Le pied gainé de soie frôle le sexe tendu. "Tu sais que si tu jouis, ta verge recevra le fouet, soumis !" Il n'a jamais pu résister à cette merveilleuse caresse de sa Maîtresse !

J'ai fait un rêve singulier ! Je me voyais sonnant à la porte de la Dominatrice avec qui j'avais pris rendez-vous au téléphone. La porte s'ouvrit et je vis une Déesse de cuir vêtue, chaussée de cuissardes à talons hauts et arborant un gode ceinture herculéen. Sans doute perçut-elle sur mon visage l'inquiétude qui me saisit alors. "Ne crains rien, petit soumis, je suis une vraie professionnelle !", me dit en guise d'accueil la divine Maîtresse.

MA, vêtue d'un déshabillé de soie noire, les jambes gainées de bas couture légèrement fumés, et chaussée de sandales à talons, observe le soumis avec un sourire amusé. Il faut dire que le pénis de celui-ci est de taille dérisoire. M.A a convié quelques bonnes amies à prendre le thé et à assister à l'humiliation de ce petit coq doté d'un ergot riquiqui. " Et si je le fessais !", suggère-t-elle. Toutes en cœur l'y encouragent. "Oh, oui, et moi, je lui pincerai les couilles", déclare la coquine Adélaïde.

M.X déclare éprouver des troubles d'érection de plus en plus fréquents. Au fil de l'entretien, il avoue se livrer très souvent à la masturbation. Doctoresse Ariane procède à un premier examen de l'appareil sexuel du patient préalablement sanglé sur le fauteuil médical, jambes écartées. Il craint le pire !

Voici une bonne séance de torture pour soumis extrêmement chatouilleux. Il est ligoté de telle sorte qu'il ne puisse pas du tout bouger. Livré aux mains impitoyables de MA, il a beau se trémousser et mobiliser toutes ses forces pour se libérer. Rien n'y fait ! Les doigts habiles visent les parties les plus sensibles, déclenchant un rire immaîtrisable jusqu'à l'essoufflement. Il implore, son corps se bande, il n'en peut plus. Croit-il que ses pauvres larmes vont apitoyer sa tortionnaire ?

Cité à comparaître par la Commandante General Maitresse Ariane, l'accusé fait appel à une avocate brillante pour le défendre. Voici ce qu'elle lui déclare après étude de son dossier : "Etant objet de propriété, donc soumis au régime général des biens et non à celui des personnes, vous ne disposez pas de la capacité juridique. Par conséquent, vos droits sont équivalents à ceux d'un meuble." Pensez-vous que son affaire soit bien embarquée, sachant que l'avocate est une camarade de promotion de la Commandante à l'Ecole Supérieure de Droit ?

Elle prend sa verge et la caresse délicatement en l'entraînant jusqu'à son trône où elle s'assied nonchalamment. Son image se reflète comme à l'infini dans les miroirs qui ornent le salon. Il s'agenouille devant elle humblement. Avec la pointe de son talon, elle agace sa verge, puis enlève un de ses escarpins et caresse du bout des orteils son gland turgescent. Elle remet négligemment sa chaussure. "Regarde-moi bien dans les yeux et récite les trois premières règles !" Pendant qu'il s'exécute, elle pose un pied sur son membre raidi et le courbe de force vers le bas.

Je lui ai accordé le rendez-vous demandé au téléphone, dans un endroit discret, où il devait laisser sa voiture. Je l'ai plaqué contre le capot, lui ai passé les menottes et bandé les yeux. Je lui alors saisi les couilles et je les ai serrées le plus fort que je pouvais. Il hurlait de douleur. Pour le faire taire, je l'ai garroté. Il peinait à reprendre son souffle. Il était terrorisé ! Je lui ai donné le choix : prendre la fuite en me laissant son offrande ou signer un contrat d'appartenance sans condition. Il a signé, m'a remis son portefeuille avec ses papiers, son téléphone. Je lui ai ordonné de se déshabiller et de monter dans le coffre de ma propre voiture. Douze heures de calvaire l'attendaient avant que je le relâche !